Julia, une étudiante ordinaire que pourtant tout accuse, doit répondre des meurtres violents qui déciment ses amis. 
Elle prétend qu'il s'agit de l’œuvre d'une Créature au visage-écrans.
ALICEAMBROSET DANS LE RôlE DE JULIA
YVESPIAT DANS LE RôLE DE COMMISSAIRE GRIEVE
éLISEFOUILLADE DANS LE RÖLE DE L'ADJOINTE éLISEFOUILLADE DANS LE RôLE DE L'ADJOINTE
AURORESTREICH DANS LE RôLE DE SANDY
HERMANNMÄNNER DANS LE RôLE DE FRANCK
SIMONLAURETTI DANS LE RôLE DE NATHAN
JULIENROMANO DANS LE RôLE DE RICHARD
EMMANUELCAVALLO DANS LE RôLE DE DOUBLURE RICHARD
et PAULCAILLABET DANS LE RôLE DE LA CRéATURE
Hyperconnectés, les jeunes adultes se mettent en scène quotidiennement sur les réseaux sociaux, se construisent un personnage social (mais virtuel) au fil des « likes », « partages », 
« comments » et « retweets »... Mais celui que chacun prétend être sur la toile, ce masque, cet avatar, cette Persona, qui banalise la violence graphique, qui concourt aux millions de vues d’une mauvaise blague humiliante, qui participe au harcèlement de victimes anonymes mais réellement anéanties, qui se repaît en toute impunité des faits divers les plus sordides disponibles dans cet hypermarché de l’image débridée, est dans la vie un simple être humain névrosé. Un être dont le Moi parcourt sa réalité dans le respect plus ou moins subi des conventions. Cette psyché coupée en deux, alternative, duelle, produit alors de l’ombre, de l’incompréhension. Une « Ombre masquée », qui entend bien dans ce récit corriger ce grand écart, punir le Moi en plongeant son regard dans l’abîme de sa responsabilité individuelle. Peut-on échapper au châtiment en renonçant à participer au réseau social ? Pas si sûr, dans la mesure où si le Moi numérique (à l’instar du Moi incarné) est la résultante de ses choix personnels, il est aussi l’agglomérat de son histoire individuelle, collective et, bien malheureusement ... de ce qu’on dit de lui (dans la réalité et sur la toile). Alors, tous coupables?
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 © CinéCréatis 2017

Julia, une étudiante ordinaire que pourtant tout accuse, doit répondre des meurtres violents qui déciment ses amis. 
Elle prétend qu'il s'agit de l’œuvre d'une Créature au visage-écrans.
ALICEAMBROSET DANS LE RôlE DE JULIA
YVESPIAT DANS LE RôLE DE COMMISSAIRE GRIEVE
éLISEFOUILLADE DANS LE RÖLE DE L'ADJOINTE éLISEFOUILLADE DANS LE RôLE DE L'ADJOINTE
AURORESTREICH DANS LE RôLE DE SANDY
HERMANNMÄNNER DANS LE RôLE DE FRANCK
SIMONLAURETTI DANS LE RôLE DE NATHAN
JULIENROMANO DANS LE RôLE DE RICHARD
EMMANUELCAVALLO DANS LE RôLE DE DOUBLURE RICHARD
et PAULCAILLABET DANS LE RôLE DE LA CRéATURE
Hyperconnectés, les jeunes adultes se mettent en scène quotidiennement sur les réseaux sociaux, se construisent un personnage social (mais virtuel) au fil des « likes », « partages », 
« comments » et « retweets »... Mais celui que chacun prétend être sur la toile, ce masque, cet avatar, cette Persona, qui banalise la violence graphique, qui concourt aux millions de vues d’une mauvaise blague humiliante, qui participe au harcèlement de victimes anonymes mais réellement anéanties, qui se repaît en toute impunité des faits divers les plus sordides disponibles dans cet hypermarché de l’image débridée, est dans la vie un simple être humain névrosé. Un être dont le Moi parcourt sa réalité dans le respect plus ou moins subi des conventions. Cette psyché coupée en deux, alternative, duelle, produit alors de l’ombre, de l’incompréhension. Une « Ombre masquée », qui entend bien dans ce récit corriger ce grand écart, punir le Moi en plongeant son regard dans l’abîme de sa responsabilité individuelle. Peut-on échapper au châtiment en renonçant à participer au réseau social ? Pas si sûr, dans la mesure où si le Moi numérique (à l’instar du Moi incarné) est la résultante de ses choix personnels, il est aussi l’agglomérat de son histoire individuelle, collective et, bien malheureusement ... de ce qu’on dit de lui (dans la réalité et sur la toile). Alors, tous coupables?
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